| 06.11.2018

 » Après 18 mois d’expérimentation du dossier médical partagé (DMP) dans neuf départements (plus de 1,2 million de dossiers créés par les patients), le ministère de la Santé et l’Assurance maladie ont lancé officiellement, ce 6 novembre, la phase de généralisation de ce carnet de santé numérique, désormais disponible pour tous, sur l’ensemble du territoire.

A cette occasion, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, et Nicolas Revel, directeur général de l’assurance maladie, appellent, bien évidemment, à la mobilisation de tous les professionnels de santé et des patients, propriétaires de leurs données, pour atteindre un premier objectif de 10 millions de DMP d’ici à la fin de l’année 2019. « Le DMP doit devenir une évidence pour tous les Français comme la carte Vitale », a lancé Agnès Buzyn.
Alain-Michel Ceretti, président de France Assos Santé, annonce que tous les feux sont au vert pour que  »

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| 22.10.2018

« Les députés ont adopté la semaine dernière en commission un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2019 qui prévoit une expérimentation pour trois ans dans deux régions, permettant aux pharmaciens de dispenser des médicaments à prescription médicale obligatoire… sans prescription.

Rappelons que le 20 septembre 2017, Carine Wolf-Thal avait évoqué lors de la Journée de l’Ordre national des pharmaciens, dont elle est la présidente, l’idée de lancer une catégorie de médicaments «  de prescription pharmaceutique ». « Cela se pratique déjà en Suisse, au Canada ou aux Etats-Unis. Les pharmaciens peuvent disposer de manière responsable de médicaments dits de prescription pharmaceutique. Ils ont toutes les compétences pour cela », avait-elle déclaré.

Une compétence que les médecins ne semblent pas tout à fait prêts à partager. Le syndicat MG France s’oppose ainsi à cette disposition, fût-elle expérimentale…  »

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Enfin !

Le décret relatif aux conseils et prestations que peuvent proposer les pharmaciens est paru ce matin au Journal officiel.

Plus de temps à perdre, c’est le bon moment pour :

  • mettre en place des actions de suivi et d’accompagnement auprès de vos patients
  • proposer la préparation des doses à administrer (PDA) à vos patients au comptoir

Besoin d’être accompagné ? N’hésitez pas à nous contacter.

Pour lire l’intégralité du décret : cliquez ici

| 01.10.2018

« Ce lundi 1er octobre, Agnès Buzyn a lancé officiellement une grande concertation nationale en vue de répondre au défi du vieillissement de la population.

Après l’annonce en mai dernier d’une série de mesures immédiates pour gérer la crise dans les établissements pour personnes âgées, c’est une méthode de long terme qu’ambitionne la ministre de la Santé, à l’image de la stratégie de transformation du système de santé, dont les résultats ont été dévoilés il y a quelques semaines.

« Réforme ambitieuse » en janvier 2019

La prise en charge de la perte d’autonomie est un défi majeur tant les chiffres sont alarmants. D’ici à 2050, le nombre de …  »

 

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| 01.10.2018

« Alors que la ministre de la Santé Agnès Buzyn a ouvert ce lundi une concertation citoyenne sur la dépendance (une loi est prévue en 2019), la Mutualité française publie un observatoire édifiant sur le financement du vieillissement et de la perte d’autonomie.

La Mutualité a croisé plusieurs données chiffrées (assurance-maladie, INSEE, etc.) et études (DREES, HCAAM) publiées entre 2010 et 2018. Les résultats sont sans appel.

En France, le coût d’un mois en EHPAD pour les Français en perte d’autonomie la plus sévère (GIR 1 et 2) est de 2 450 euros en moyenne. Pour ces résidents, le reste à charge mensuel moyen (après allocation personnalisée d’autonomie, APA, et aide sociale à l’hébergement, ASH) est de 2 000… »

 

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 PROPOS RECUEILLIS PAR MATTHIEU VANDENDRIESSCHE 

 

Qu’est-ce qui vous a conduit à créer le groupement PDA Pharma ?

Gérald Aitmedhi. Responsable dans les ventes et la formation au sein du groupement Evolupharm, puis en charge du générique pour le répartiteur Alliance Healthcare et son enseigne Alphega Pharmacie, j’ai observé de près la montée en charge de la préparation des doses à administrer (PDA). Avec mon associé, Thierry Darde, nous voulons accompagner les pharmaciens qui ont inscrit cette activité au cœur de leur projet d’entreprise. Nous voyons encore trop souvent des officines dont l’équipement automatisé est surdimensionné au regard du potentiel de patients desservis ou bien dépassés par cette activité.

Votre stratégie est-elle de réunir les « gros faiseurs » de la PDA automatisée ?

G.A. Le groupement a été lancé le 1er décembre 2017 et officialisé en janvier 2018. A date, 37 pharmaciens nous ont rejoints. Les deux tiers sont équipés avec un matériel automatisé mais ce ne sont pas seulement de « gros faiseurs », loin de là. Il y a aussi un marché important pour la PDA manuelle, avec un potentiel de 150 à 200 …  »

lire la suite: https://www.lemoniteurdespharmacies.fr/revues/le-moniteur-des-pharmacies/article/n-3240/gerald-aitmedhi-la-pda-est-la-porte-d-entree-pour-l-observance-et-les-services-remuneres.html

« Le traitement, composé d’un anti-agrégant plaquettaire, doit être pris en continu afin de réduire le risque d’AVC ou d’infarctus. Des outils existent pour éviter d’interrompre son traitement.

20% des patients interrompent leur traitement

Selon une étude suédoise publiée dans Circulation, 20% des 600 000 patients observés cessent de prendre leur prescription préventive – un comprimé quotidien – dans la première année de leur traitement, tandis que la moitié ne le suit pas correctement.

Cette mauvaise observance a des conséquences dramatiques pour les personnes à risque : sur 74 patients qui abandonnent leur prescription, une personne souffrira d’un AVC ou d’un infarctus dans l’année. Soit un tiers de plus que la normale.

Comme l’expliquent certains chercheurs, cet effet « rebond » est dû au risque important qu’un thrombus ne se forme chez ses patients, et dès que cette molécule vient à manquer, la coagulation augmente plus rapidement chez cette population. »

en savoir plus sur: http://lecrip.org/2018/08/30/arreter-son-traitement-preventif-contre-lavc-augmente-le-risque/

C’est parti pour le bilan partagé de médication ! Le décret du 16 mars 2018 sanctifie un changement total de paradygme pour le pharmacien d’officine: médicalisation du discours dans une procédure tracée d’analyse pharmaceutique des traitements , accès au Dossier médical partagé dans sa totalité ( diagnostics, histoire des pathologies, bilans biologiques, etc..), DPC déclenchant une procédure CPAM relié aux patients éligibles de la pharmacie, et surtout connexion par serveur sécurisé au médecin référent pour proposer une modification de la prescription si une inobservance est constatée. Bigre !! Plus que jamais, le pharmacien doit être prêt!! Inscrivez vous vite dans les groupements tels que PDA PHARMA, pour vous faire accompagner !